Répétitions – Réouverture des studios

Nous reprenons partiellement notre activité à partir du lundi 8 juin 2020 10h. Ainsi, les deux studios de répétition reprennent du service.

Vous pouvez donc dès à présent réserver vos créneaux par mail (repetitions@association-live.fr) ou par téléphone (03 20 80 75 35).

A noter que, puisque nous prévoyons un créneau d’une heure entre chaque répétition pour nettoyer les studios, certains créneaux devront être aménagés.

Pour la sécurité de tous, nous devons respecter ensemble un certain protocole :

  • Le nombre de personnes est limité à 5 par studio
  • Les musiciens doivent tous arriver à la même heure. Toutes les personnes présentes devront être joignables et nous laisser leurs coordonnées complètes avant l’entrée dans le studio (nom, prénom, adresse, téléphone, adresse mail). Merci d’être ponctuel
  • Le port du masque est obligatoire pour les musiciens, merci de venir équipé de votre masque
  • Du gel hydro-alcoolique est mis à disposition dans chaque studio ainsi qu’au bar. Pensez- à vous désinfecter les mains en arrivant
  • Le prêt de matériel (micro, câbles (XLR, jack, etc.), matériel audio en général) est suspendu. Prévoyez votre matériel !

Merci de prendre également connaissances des informations suivantes :

  • Le paiement par carte bancaire est à privilégier. Vous pourrez cependant toujours régler vos répétitions en espèces si nécessaire. Merci de désigner un membre en charge du règlement de la totalité de la répétition dès votre arrivée
  • Nous nettoyons les studios après chaque répétition. Ainsi, nous gardons un créneau libre d’une heure entre chaque répétition. Certains des créneaux ne seront donc pas disponibles
  • Les studios sont ouverts de 10h à 23h du lundi au vendredi

Vous retrouverez le protocole mis en place par l’Association Live ici ainsi qu’une checklist pour n’oublier aucun matériel. N’hésitez pas à consulter ces documents avant toute venue à Live !

Nous espérons vous revoir très prochainement et comptons sur votre implication pour respecter ces bonnes pratiques, nécessaires pour préserver la santé de chacun.

Merci de votre compréhension.

L’équipe du Bar Live

Exposition – L’Aléatoire

Pour ces mois de février et mars, nous accueillons au Bar Live l’exposition de peintures et dessins en technique mixte par Nora DAHMANI.

Nora exposera en deux temps, d’abord en février avec des toiles en couleurs pour une première partie nommée “Colorées”, puis en mars avec des toiles et dessins en noir et blanc pour la suite intitulée “Noir et Blanc”.

Autodidacte née dans le Valenciennois, Nora vit à Villeneuve d’Ascq. Le dessin et la peinture ont toujours été une passion.

Depuis son plus jeune âge, elle esquissait des personnages au grand dam de ses instituteurs qui la voyaient dessiner Colette et Rémi jouant au ballon plutôt que d’écrire la phrase en dictée. Malgré les réprimandes et les regards exaspérés, ce jeu, cette passion n’ont fait qu’augmenter…

Des études en tapisserie d’ameublement, de l’histoire de l’art, un peu de couture floue et d’art appliqué, voici son parcours en résumé.

C’est cependant face à la toile ou sur le Canson qu’elle laisse danser ses crayons, exploser son imagination.

Texte : Nora DAHMANI

Contact : dahm.no@hotmail.fr

Retrouvez Nora DAHAMNI au Bar Live pour son vernissage le jeudi 06 février dès 18h !

Exposition jusque fin mars 2020

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Festival Culture Bar-Bars

Pour cette dix-huitième édition le Bar Live est une fois de plus partenaire du festival Culture Bar-Bars.

Késako le Festival Culture Bar-Bars ?

Le collectif Bar-Bars, fédération nationale des cafés culture, est né en 1999 afin de mettre en valeur et promouvoir les bars concerts/ cafés culturels. Le but étant de montrer l’importance de ces petits lieux de diffusion dans le monde culturel. Son événement emblématique, le festival Culture Bar-Bars est lui né deux ans plus tard à Nantes.

Cette année, le festival s’étend à 215 lieux pour 58 villes et le Bar Live en fait donc partie avec comme programmation:

Jeudi 28 novembre: Boeuf spécial avec les gagnants de Five Contest, Toum’s et Beeli

Vendredi 29 novembre: Soirée rock alternatif / progressive rock avec Backwoods et Idiot Saint Crazy Orchestra

Samedi 30 novembre: Musique châabi / pop folk avec Gibraltar et Elmo

Plus d’infos sur le collectif Culture Bar-Bars sur : https://www.bar-bars.com/

Jeu concours ! – Terminé

Gagne 4 heures de répétition dans les studios de l’Association Live !

Pour participer, il vous faut :

Pas de re-post obligatoire mais une chance supplémentaire si tu re-postes sur ton compte et / ou story (n’oublie pas de nous identifier avec @BarLive301 pour qu’on voit ta publication !).

Le concours est ouvert jusqu’au 20 novembre 2019, le gagnant sera annoncé en story !

Exposition – Steampunk

Pour ce mois de novembre, nous accueillons au Bar Live l’exposition de photographie au collodion humide “Steampunk” par Nicolas DESVIGNES.

Photographe autodidacte, j’ai toujours été passionné par les procédés argentiques et les travaux de laboratoire. Mes travaux sont centrés sur les portraits et la recherche d’esthétique.

Le choix de prendre en photo des vaporistes était une évidence, en premier lieu car l’uchronie démarre dans la même période historique que le procédé, au XIXème siècle. De plus, l’esthétique des costumes est sublimée, les matières nobles telles que le cuir, le laiton et certaines des tissus utilisés sont mis en valeur sur les plaques.

Le collodion humide est un procédé photographique inventé en 1850 par le français Gustave le Gray. Il permet de fixer sur verre (ou aluminium) une surface sensible à la lumière. Les plaques préparées ne doivent pas avoir le temps de sécher avant le traitement complet. Ainsi, chaque plaque réalisée est unique. Ce procédé permet d’obtenir une riche gamme de gris (argent) et une très grande finesse de détails.

Texte : Nicolas DESVIGNES

Retrouvez Nicolas DESVIGNES pour son vernissage le jeudi 07 novembre dès 18h ainsi que pour un atelier démonstration le samedi 23 novembre à partir de 14h !

Pour plus d’information, cliquez ici !

Portrait – Yan Bazin / Mr Aya

Yan Bazin – plus connu sous son nom de scène de « Mr Aya » – a 43 ans. Roubaisien depuis toujours, il est enfant d’un couple métissé, sa maman guyanaise est née à Roubaix. Élevé aux noms de « Rosa Parks », « Martin Luther King », il est naturellement sensibilisé aux problématiques d’égalité et de justice dès son plus jeune âge. Fin des années 80, il participe ainsi, avec son père syndicaliste, à des manifestations marquantes (réclamation de la libération de Nelson Mandela, mort de Malik Oussekine, etc.). Ajoutons à cela une famille mélomane, tantôt musicienne tantôt collectionneuse, il n’en faudra pas plus à Yan pour faire son chemin dans le monde du reggae / dancehall.

Il se lance dans la musique au milieu des années 90 d’abord comme percussionniste. C’est surtout son grand frère, alors actif dans le milieu soundsystem parisien des années 80, qui l’initiera. Ils créent à la fin des années 90 le « Comanchero Sound System », qui deviendra très actif sur la scène locale, jouant régulièrement dans les festivals, pour les fêtes de la musique, dans les maisons de quartiers, ou lors d’événements festifs et populaires. Yan anime également, au début des années 2000 une émission de radio sur RQC, en Belgique.

Tournant décisif en 2006 quand l’association « One Love Nation », un collectif de groupes de musique (comprenant « Natty Roots », « Piece of Salam », « Ballistic Sound System ») dédié à l’accompagnement musical de plusieurs groupes, se tourne vers lui. Équivalent des « backing bands» en Jamaïque, ces collectifs servent à assister instrumentalement les chanteurs et MCs.

Ils viennent répéter à Live chaque lundi, et c’est ainsi que Yan découvre ce lieu dont il n’avait jamais entendu parler. Il découvre alors ce lieu intimiste, dans lequel on peut y voir aussi bien le guitariste de la Mano Negra, Amazigh Kateb ou des musiciens locaux qui « tapent » le bœuf régulièrement et où les soirées s’allongent jusqu’au petit matin en soundsystem. Il y fera de nombreuses résidences avec restitutions.

Symbole des soundsystems du Nord, Aya devient aussi une figure incontournable du Bar Live avec ses « Aya Friday » depuis décembre 2018. Un vendredi par mois, l’association lui laisse carte blanche pour la programmation et l’animation de la soirée. Une occasion pour lui d’inviter des copains et des artistes qu’il apprécie, en dévoilant diverses facettes de la musique jamaïcaine : reggae, dub, dancehall et soundsystem.

Rendez-vous le vendredi 18 octobre pour le Aya Friday #7 avec Dju Laïon !

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Vinyl Session – Interview d’Axl Meu

L’équipe du Bar Live a posé quelques questions à Axl Meu, prochain invité de la Vinyl Session le 23 octobre 2019 !

Salut Axl ! Peux-tu te présenter en quelques phrases ?

Salut ! Alors, je me présente… Je m’appelle Axel, alias Axl Meu, j’ai 25 ans, et j’enseigne le Français dans un petit collège. Passionné de musique rock/metal depuis une bonne dizaine d’années maintenant, j’ai lancé mon petit fanzine il y a maintenant quatre ans et demi, Sounds Like Hell Fanzine devenu entretemps Heretik Magazine, webzine et magazine papier imprimé à 5000 exemplaires et diffusé gratuitement dans toute la région des Hauts-de-France.

Par la suite, l’expérience que j’ai acquise m’a permis de rejoindre d’autres médias comme Metallian Magazine avec qui je collabore depuis 2015, et MyRock pour qui j’écris depuis mars 2018… À côté, je reste un passionné de musique dans tous les sens du terme : je continue d’acquérir CDs, vinyles et même K7 et me rends très régulièrement aux concerts qui ont lieu dans notre région !

A quoi peut-on s’attendre en venant à ta vinyl session du 23 septembre ?

Quand on m’a proposé de présenter mes vinyles et de créer une playlist, j’ai commencé dès lors à réfléchir à ce que je pourrais proposer. Sans vouloir dévoiler quoi que ce soit, vous pourrez attendre de moi une sélection très exhaustive de morceaux de groupes qui ont marqué le Rock des années 50 à 90, avec une section principalement axée sur les 80’s et ses registres les plus plébiscités : hard rock, heavy metal, glam metal et thrash.

Quand est-ce-que tu as commencé à collectionner tes premiers vinyles ?

Tout le monde se souvient de sa première fois, moi le premier. Je devais avoir 15 ans quand j’ai acquis mon premier 33T. Déjà habitué des conventions de disques, je glanais les CDs et objets sur Ozzy Osbourne/Black Sabbath, mais je n’avais pas encore franchi l’étape du vinyle, tout simplement car je n’avais pas encore de tourne-disque… Et ce jour, un dimanche, je suis tombé sur un bootleg de Black Sabbath, alternative version 69-71, comprenant des versions alternatives des classiques du groupe. La révélation, quoi ! Autant dire que j’étais fasciné par l’objet. J’ai passé du temps à le regarder tourner celui-là…

Depuis ce jour, ma collection a pris de l’ampleur. Mon père, éternel rocker dans l’âme, qui s’était débarrassé de tous ses disques, en a profité pour me donner un coup de pouce dès qu’il le pouvait. Peut-être était-il nostalgique ? Au début des années 2010, le disque vinyle n’était plus trop en vogue, donc il est allé de brocante en brocante pour récupérer à moindre prix les disques qu’il avait à l’époque. C’est pour cette raison qu’on dit de moi que je suis un « vieux-jeune », longtemps, je n’ai écouté que les gros standards des 80’s… (rires)

Quel est ton “vinyle de la honte”, celui que tu caches quand tes potes viennent chez toi et le vinyle dont tu es le plus fier ?

Je n’ai pas vraiment de disque de la honte à proprement parler ; peut-être mes albums de Fall Out Boy, groupe que j’écoutais quand j’étais ado, mais on parle là de CDs, donc ça ne compte pas (sourire)… Pour ce qui est des vinyles, peut-être celui de Bon Jovi, Slippery When Wet, groupe que je ne supporte plus aujourd’hui. N’allez pas me demander pourquoi, moi-même je ne sais pas ! Par contre, j’ai en ma possession quelques disques qui, aujourd’hui, ne sont pas si simples à trouver, comme le premier pressage de Virgin Killer de Scorpions, une partie des premiers albums de Sodom en pressage original également… Néanmoins, je dois avouer que je suis particulièrement fier de ma collection sur Ozzy Osbourne. Certes, aujourd’hui, je suis moins aux aguets, car je pense avoir fait le tour de la question, mais il m’arrive encore de prendre le temps de regarder ces disques qui pour certains sont signés par The Prince Of Darkness ou même Zakk Wylde en personnes !

Ta maison est en feu, tu dois sauver que 5 vinyles de ta collection, lesquels choisis-tu ?

Ne me parle pas de malheur ! Je pense tout simplement que je serais l’homme le plus triste du monde si ce drame venait à arriver un jour. Mais bon, puisqu’il faut répondre, je dirais :

– mon pressage original de Black Sabbath de Black Sabbath signé et dédicacé par Ozzy Osbourne.

– ma compilation Club Sonderauflage de Black Sabbath signé et dédicacé par Ozzy Osbourne.

– mon pressage sud coréen de No Rest For The Wicked d’Ozzy Osbourne signé et dédicacé par Zakk Wylde.

Après, des disques comme mon Abbey Road des Beatles (joyeux anniversaire !), et par ce que je l’aime beaucoup, peut-être l’album, Ram de Paul et Linda McCartney.